Jean-Pierre Petit

Jean-Pierre Petit

Jean-Pierre Petit

Jean-Pierre Petit est né le 5 avril 1937 à Choisy-le-Roi de Bernard Lévy et d’Andrée Christine Petit. À l’issue de ses études secondaires effectuées au lycée Carnot de Paris, il obtient le baccalauréat et entre en classe préparatoire scientifique au lycée Condorcet. Il intègre alors Supaéro où il se passionne pour la mécanique des fluides. Il obtient son diplôme d’ingénieur en 1961.
Parcours professionnel :
Dans les années 1960, il est employé durant un semestre au centre d’essais de la Société d’étude de la propulsion par réaction (SEPR, future Société européenne de propulsion) en qualité d’ingénieur d’essais dans un centre situé à Istres où l’on procède à la mise au point des moteurs des premiers missiles nucléaires intercontinentaux MSBS.
ITER Fusion nucléaire – Jean-Pierre Petit – Réalité d’un projet nucléaire 1/5

Il préfère intégrer le monde de la recherche et entre en 1965 en qualité d’ingénieur de recherches à l’Institut de mécanique des fluides de Marseille, laboratoire associé au CNRS. Il y effectue ses premières recherches en magnétohydrodynamique. En 1972, il est titularisé au CNRS après avoir passé sa thèse. En 1974, Jean-Pierre Petit abandonne officiellement la recherche expérimentale en MHD et entre à l’observatoire de Marseille où il se reconvertit dans la recherche théorique en astrophysique. Néanmoins, il continue en parallèle ses recherches expérimentales sur les aérodynes MHD, jusqu’en 1987. Convalescent après de nombreux mois d’hospitalisation suite à un accident du travail en octobre 1976 (rupture d’élingue d’un électroaimant de 250 kg), il devient entre 1977 et 1983 sous-directeur du Centre de calcul de l’Université de Provence où il crée le Centre informatique d’enseignement. Il y développe avec les étudiants du département de philosophie des logiciels de CAO, tels que Superpangraphe et Screen commercialisés en 1978. Sa bande dessinée d’initiation à la CAO intitulée Pangraphe, accompagnée de programmes en BASIC, paraît en 1984 chez P.S.I. Il est retraité du CNRS depuis avril 2003.

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